Dans le nouveau film casque beats documentaire "Une page: Inside the New York Times," nous voyons les médias chroniqueur David Carr assister de nombreuses conférences sur l'avenir des journaux. Les gens parlent intensément au sujet des nouvelles plateformes, l'inquiétude sur les modèles de publicité en danger, et analyser la viabilité des "murs payer."
Quelque chose d'autre se passe à ces pow-wow. "C'est une sorte de solitude et de peur là-bas», nous dit Carr. "C'est une façon monster powerbeats de trier des réunissent autour d'un feu de camp et dire, 'Nous sommes tous droit ne sont pas nous? Nous sommes OK". ... «Ouais, nous sommes très bien. Nous avons [la conférence] insignes."
Le réalisateur Andrew Rossi, qui s'ouvre à Los Angeles le vendredi, apporte effectivement nous tous autour du feu, avec Carr comme chaman et conteuse en chef. Ceux qui croient encore en la puissance et la droiture des grands médias, et le New York Times en particulier, connaîtront une lueur chaude d'affirmation. Les sceptiques du journal le plus éminent de l'Amérique, et les nouveaux médias loyalistes, sera probablement laissé froid.
Le film a quelques problèmes - en particulier ce qui semble être un licenciement trop prêts des perspectives journalistiques de la presse. Ancien journaliste du Washington Post (et actuel éditeur du New Yorker), David Remnick, par exemple, rejette l'incarnation actuelle de la Poste dans une phrase ou deux. Il ne creuse pas dans cette profondeur dans un sujet en particulier - en s'appuyant sur une analyse de 30.000 pieds à travers les nouveaux médias, le journalisme citoyen, le journalisme d'investigation et de la disparition beats monter pro de l'impression.
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